Historique

Camp 1 (An 312)

Une troupe est envoyée pour investiguer le manque de nouvelles d’un groupe d’hommes nommé la compagnie, chargé de faire de l’exploitation dans un lieu qui se trouve au-delà des montagnes de Kalim. La division, accompagnée d’un prêtre du haut clergé d’Ahura, passa par une forêt étrange où elle trouva des géants dormant bruyamment. Un piéton tenta de dépouiller un géant de son arme, ce qui le réveilla. Paniqués, les hommes prirent leurs jambes à leur cou pour trouver refuge dans un ancien poste avancé d’Elmiro. Le lieu était acceptable pour se défendre et s’installer malgré sa décrépitude.
On trouva par hasard un parchemin qui expliquait la détresse des gens de la compagnie, amenant les secouristes à une terrible conclusion sur le sort de ces pauvres hommes. Il fallait se préparer à des moments difficiles. Le soir venu, ils eurent la visite d’un éclaireur miedo râlant des menaces à leur intention. Il va sans dire que la nuit fut difficile, mais le groupe a judicieusement placé des gens pour monter la garde, prêts à se défendre coûte que coûte. Ouf, quelle nuit difficile ils ont passée! Ils comprirent que leur défense était loin d’être au point, car les ennemis étaient d’un nombre incalculable. Puisqu'on n'a pu les identifier, ils furent surnommés Les ombres.
Au lendemain matin, l’heure était à l’exploration des terres, à renforcer les défenses et à s'entraîner au combat afin de mieux sécuriser les lieux.
Dans l’après-midi, les voyageurs accueillirent une dame et sa petite guerrière. De bonne compagnie, elles prouvèrent leur utilité dans le camp. Au moment de fouler le sol des installations de la compagnie, l'expédition ne trouva aucune trace de vie.
À un moment inattendu, des créatures étranges se sont pointées au camp. Elles avaient avec elles des prisonnières. Le groupe réussit à les libérer et chasser ces monstres qui semblaient se nommer meurlock. Il était de plus en plus risqué de se promener hors du camp, car ces meurlocks étaient de très bons chasseurs et de redoubtables adversaires. Le soir venu, la nourriture à attiré les meurlocks dans les murs du camp, évinçant le groupe afin de voler une partie des vivres. Certains hommes de troupe étaient particulièrement soulagés que le poulet ait été épargné.
Certains voulurent tenter l’expérience de dormir à la belle étoile, espérant réagir plus rapidement en cas d’attaque. Les tours de garde étaient encore de mise.
Le matin venu, la cohorte réussit à identifier un membre des ombres. Il ne fut pas aisé de lui soutirer des informations avant sa disparition, mais au moins, la place avait été tenue en essuyant un minimum de pertes.

Camp 2 (An 312)

Un deuxième envoi d’hommes fût expédié par Elmiro afin d’approfondir les recherches au sujet de la compagnie et surtout pour sécuriser la région.
Le capitaine Fougère a montré un fort intérêt à une rumeur, souhaitant en découvrir plus. Il y mit beaucoup d’effort.
Dans la première nuit, sa troupe et lui ont fait la rencontre d’un mystérieux ermite. C’est en l’accompagnant qu’ils ont été attaqués par des esprits particuliers. Heureusement, le groupe a eu plus de peur que de mal.
Le matin venu, ils ont trouvé et suivi des traces de sang qui les ont conduits dans un camp où se trouvaient des meurlocks qui avaient un prisonnier criant à l’aide attaché à un arbre. La confrérie s’activa alors pour le libérer.
Au retour à leur camp avec le délivré, ils ont fait la rencontre de deux hommes qui semblaient remplis de talent. Cependant…
C’est dans l’après-midi que l’ancien captif, qui se présenta comme un marchand de profession, se mit à avoir des symptômes plus qu’anormaux. Octavius demanda aux hommes de trouver le nécessaire pour procéder à un rituel d’exorcisme sur le vendeur qui devenait de plus en plus hors de contrôle.
À la tombée de la nuit, des choses étranges se passèrent, bizarres au point de se demander si l’état de certains ne frisait pas la folie. Dans tous les cas, cela n’annonçait rien de bon. En effet, les moments qui s’ensuivirent étaient loin d’être agréables, tel l’apparition d’un démon. Quand tout espoir fut perdu, Octavius, le grand-prêtre d’Ahura, se lança dans une tentative désespérée qui réussit à faire prendre la fuite à la créature, mais pour combien de temps…

Camp 3 (An 312)

Les voyageurs, trop heureux d’arriver au poste avancé d’Elmiro, se trouvant à proximité de la compagnie, avec un voyage sans embuche eurent la mauvaise surprise d’y trouver des géants qui ont visiblement choisi leur camp pour y faire une sieste. Il ne fut pas de tout repos de parvenir à les réveiller et les faire sortir.
Après avoir soigné leurs blessures ils ont fait leur possible pour inspecter les lieux ainsi que lancer une reconnaissance à la compagnie.
Au retour, ils furent poursuivis par une horde de créatures obscures que l’on appelle des elfes noirs. Arrivés sains et saufs au poste, ils ont dû user de force pour les chasser.
Au matin, nos aventuriers ont reçu une agréable visite qui ne fut pas sans conséquence. Elle fut suivie d’un marchand muni d’un parler coloré, nommé Sao Paulo, qui arriva avec des réponses à certaines questions pour les aider à progresser dans leurs quêtes mais plus ils passèrent de temps avec ledit marchand et plus la lune de miel s’estompait, plus rapidement pour certains que pour d’autres.
Une barde talentueuse vint apporter son soutien. Des paysans arrivèrent pour profiter d’un repas chaud et délicieux. Il s’ensuivit le procès de la pelle, car un membre du groupe avait volé la pelle d’un des paysans, ce qui les avait mis dans une grande colère.
À la tombée de la nuit, la forêt devint très hostile, mais heureusement, ce fut de courte durée.
Cependant, autre chose se passait dans la nuit et résulta au matin en l’arrivée d’une créature maléfique qui déclencha un combat incroyable pendant lequel le prêtre Octavius perdit temporairement le contrôle de ses gestes comme s’il était devenu la marionnette du monstre. C’est dans un élan de génie qu’un membre du groupe arriva avec une fée qui permit de délivrer le prêtre et mettre fin à tout cela. Mais comment cette chose a pu venir jusqu’à eux?

Camp 4 (An 312)

Cette fois-ci, les troupes arrivèrent avec des renforts provenant de 2 endroits. Un groupe arriva d’Elmiro ceux-ci tombèrent sur un problème de Meurlocks et l’autre arrivèrent d’une banlieue de Stopak, ceux-ci croisèrent 2 géants qui avaient capturé un druide qu’ils avaient attaché à un arbre, nos aventuriers ont profité d’un moment de dispute entre les 2 géants pour libérer leur captif. Tous arrivé au poste avancé d’Elmiro, le druide informa les troupes que son familier, perturbé par le tempérament agressif des géants, a pris la fuite. Une recherche fut alors fait jusqu’à la trouvaille de la créature.
Le père Octavius, Grand-Prêtre du haut clergé d’Ahura, constata à peine installer dans ses cartiers que des objets durement aquis on disparue…
Le druide, afin de remercier la troupe pour leur aide, fin un rituel dans la forêt, le lieu dans la nuit était de toute beauté avec des lumières captivantes. Mais il fut interrompu par une attaque d’elfes noire qui kidnappa le druide est son familier. Le groupe pris la fuite ce réfugiant dans la piètre fortification qui leur sert de logis mais il n’était pas au bout de leur surprise car le druide et son familier ont été corrompu sous l’emprise d’un sortilège inconnu les rendant agressifs et totalement hors de contrôle. Heureusement, Ils ont tout de même réussi à les repousser.
Au lendemain dans la matinée, c’est après une attaque de meurlocks qu’ils ont fait la découverte d’une étrange carte. Le père Octavius y consacra beaucoup de temps pour tenter de la déchiffrer.
Des petit-gens passèrent faire un tour au campement mais il ne fallut pas longtemps avant que l’un d’entre eux tenta de voler un objet important du groupe et ce devant les yeux de plusieurs.
Une fois le problème des petit-gens réglé, les membres de l’expédition ce mirent en marche pour aller à la chasse au druide corrompu ayant pour objectifs de la purifier ainsi que son familier. C’est avec efforts et courage qu’ils réussirent cet exploit.
La nuit venue la matronne passa à nouveau avec quelques elfes noires. Le groupe réussi à la neutraliser tout en résistant aux nombreux assauts de ses compagnons. C’est alors qu’au moment où tout espoirs semblaient s’être amenuisé que les attaques cessèrent et que le sanctuaire construit par un prêtre de Gaïa porta des fruits qui furent plus que bienvenue.
Par la suite la nuit fut heureusement douce et sans dérangement. Au petit-matin Père Octavius découvrit enfin le secret de la carte qui semblait être un trésor caché par les drows.
À l’approche du lieu le groupe c’est aperçue d’un important problème, le trésor ce trouvait caché sur le territoire des géants. Ils fallaient donc usé d’une grande discrétion pour ne pas attirer leur attention. C’est après avoir eût de froide sueur qu’ils ont trouvé le trésor mais ils leur faudra encore identifier ce qui s’y trouvaient …

Camp 5 (An 312)

C’est dans la hâte d’arriver que les troupes prirent un raccourci. Sur leur chemin, ils aperçurent des géants qui étaient en train de se faire un petit repas avec des objets magiques qui appartenaient au groupe. Il fallut réagir rapidement pour récupérer ce qui restait des objets.
Presqu’arrivés au poste avancé d’Elmiro, ils suivirent des branches et pierres sur leur route qui les conduisirent près du pont de la compagnie. Ils tombèrent sur des gobelins qui semblaient être ce qu’ils appelaient une embuscade!
Enfin de retour au poste avancé d’Elmiro, s’y trouvait un veilleur qui n’était ni plus ni moins qu’un paladin du Saint-Ordre au pris par certains maux, il était chargé de garder la place. Après sa rencontre avec les troupes, il se rendit à la compagnie rejoindre ses compagnons d’arme.
Plus tard dans la soirée, les troupes se rendirent à la compagnie afin de rencontrer les autres paladins mais de bien mauvaises surprises les attendaient. Arrivés sur place, les paladins n’étaient plus que l’ombre d’eux-mêmes, comme s’ils étaient possédés par une forme de malédiction sans nom. Les troupes revinrent au poste avancé d’Elmiro avec plus de questions que de réponses.
Plus tard dans l’obscurité de la nuit, un mystérieux personnage fit son apparition. Sans trop dire pourquoi, il demandait que certains le suivent dans la nuit. Les braves qui eurent le courage de l’accompagner furent récompensés car cette rencontre leur permit d’en savoir plus sur l’étrange état des paladins maudits. Cela n’était que le résultat du trésor des elfes noirs sur lequel y avait une malédiction. Trouver et détruire ''la lune qui domine le soleil'' était le prochain objectif.
Au lendemain, les troupes d’Elmiro comprirent que 'la lune qui domine le soleil'' se trouvait à la compagnie. Cela ne fut pas une tâche facile car arrivés sur place, les paladins maudits, toujours là, semblaient protéger l'endroit. Dans la caserne des paladins, il y avait un corbeau noir qui, selon certaines informations, avait la capacité de faire en sorte que les paladins maudits ne puissent sortir de cet endroit tant que cette chose brûlante ne changeait pas de place.
Au retour de la mission, ils firent la rencontre d’un homme qui semblait savoir beaucoup de chose sur les environs.
Des géants se livraient bataille pour s’apercevoir que l’un d’entre eux pourrait être d’une certaine utilité. Après l’avoir libéré il s’éloigna dans la forêt.
Cherchant le symbole de la victoire d’Elmiro, les troupes rencontrèrent une personne qui semblait être un prince illégitime d’Elmiro traqué par une milice venu de l’empire Orus. Cela fut un casse-tête pour bien discerner qui disait la vérité.
Malheureusement le prince fut tué pendant une altercation qui aboutit à l’élimination de la milice d’Orus.
Les troupes apprirent qu’il manquait un élément important pour finaliser la destruction de ''la lune qui domine le soleil'', ce qui aboutit à une course époustouflante à la compagnie se faisant traquer par les paladins maudits qui avaient malheureusement plus de mobilité qu’à la dernière visite.
Au retour, profitant d’un moment de répit permettant aux troupes de digérer, après un délicieux repas, des bruits de la foret semblèrent s’approcher. Une des sentinelles arriva à la course informant que des gobelins approchaient. Mais ses gobelins avaient avec eux une drôle de chose qui leur brûlait les mains faisant qu’ils jouaient à la patate chaude. Mais cette chose était en fait le fameux corbeau noir. À cet instant, le Père Octavius se mit à avoir des maux qui ressemblaient beaucoup aux maux du paladin.
Aussitôt ils chassèrent les gobelins et se hâtèrent avec patience et persévérance, à ramener le corbeau noir là où il se trouvait. À leur retour, la nuit était tombée et des marchands étaient barricadés dans le poste avancé d’Elmiro. Il fallut ruser afin de reprendre possession de l’endroit.
Suite à cet imprévu, les paladins maudits débarquèrent et prirent d’assaut le poste avancé d’Elmiro. Le Père Octavius fit son possible aidé par le capitaine Fougère et tous les autres à résister le temps que le corbeau noir les rappelle à la compagnie.
Après cette réussite, vint l’heure d’un repos plus que mérité.
Au petit matin, ils se levèrent dans la hâte de détruire l’origine de cette malédiction et accoururent à la compagnie. Il fallut un travail d’équipe bien orchestré afin de retenir les paladins maudits en attendant que le Père Octavius puisse exécuter un puissant exorcisme qui libéra les paladins de la malédiction. Une ambiance de satisfaction se faisait sentir après avoir accompli cette réussite. Mais ce moment de bonheur fut de courte durée car peu de temps après, une ombre surgit de la forêt. C’est alors que les paladins revenus à eux se lancèrent pour combattre la chose donnant l’ordre aux troupes du Père Octavius de quitter les lieux avec empressement sans négliger de faire le nécessaire pour informer Elmiro de la situation…

Camp 6 (An 312)

La dépouille du prince Cantin ne s’est jamais rendue à la capitale des Plaines Dorées, ce qui laissa supposer toutes sortes d’hypothèses. Les troupes engagées par Elmiro en ont subi la pression du roi, afin de retrouver son corps. Arrivés sur les terres de la compagnie, le père Octavius et ses troupes rencontrèrent quelques dangereux géants qui ralentirent leur marche vers le poste-avancé d’Elmiro. Enfin revenus sur les lieux de la fortification, la découverte fut étonnante. Il manquait plus d’un mur au bâtiment et les paysans bâtisseurs envoyés par la couronne brillaient par leur absence. Un mur et une tour étaient en construction mais visiblement inachevés. Où sont passés ces travailleurs ? Que s’est-il passé pour que le bâtiment de l’avant-poste soit dans cet état ?
Un parchemin étrange écrit dans une langue bien difficile à déchiffrer fut trouvé sur les lieux.
Certains se rendirent à la compagnie et aperçurent que des corps de paladins y gisaient encore mais un sombre personnage vint les relever dans un état peut rassurant. Nos hommes prirent alors la fuite et avertirent les autres.
C’est alors que tous préparèrent les défenses. Pendant ce temps, certains réussirent à déchiffrer le mystérieux parchemin qui était un message peu rassurant laissé par un sinistre personnage. Les troupes réussirent à résister aux assauts des paladins relevés conduits par celui que les gens redoutaient d’être … un nécromancien.
quelques temps après cet assaut, les troupes firent la rencontre d’un gobelin qui les informa d’éléments importants à trouver pour se débarrasser de ce nouveau problème : «Trouver ceux qui seront très heureux de vous servir».
Plus tard dans la nuit, des assassins très adroits attaquèrent l’avant-poste. Face à la furtivité impressionnante des ennemis, la résistance fut difficile à tenir mais les hommes réussirent tout de même à survivre à cette nuit.
Au lever du jour, des gens trouvèrent un corbeau noir. L’objet fut rapidement reconnu mais avait sur lui, semble-t-il, une malédiction différente. Quoi qu’il en soit, personne n’étaient rassuré de trouver cet oiseau au présage de malheur si près des murs de l’avant-poste d’Elmiro. Certains montèrent la garde alors que d’autres se lancèrent dans l’objectif d’améliorer le temple de Gaïa dans l’espoir d’en avoir des présents.
Après avoir consommé une bonne bouffe, nos aventuriers firent la rencontre de marchands qui vendaient certains objets magiques mais également des esclaves. Curieuse chose : les esclaves à vendre n’étaient pas sur place. Les hommes prirent tout de même le risque d’en faire l’achat. C’est seulement par la suite que les marchands les informèrent de l’endroit où trouver ces esclaves.
Lorsque les hommes les trouvèrent, ils étaient enchainés et endormis. Ils ont tenté de les réveiller mais sans succès, comme si un charme de sommeil était sur eux. Ils découvrirent qu’un gobelin possédait la clé permettant de les libérer. Après une chasse au gobelin ils purent libérer les esclaves qui sont d'une race bien étrange que l’on appelle «les flûtins». Une fois réveillés, les flûtins étaient débordants d’énergie, de joie et d’attitude étrange… Au point que certains manquaient de patience à leur égard. Finalement grâce aux flûtins ils réussirent à libérer le corbeau noir du maléfice qui le possédait et grâce à cela le corps du prince Cantin fût retrouvé et rapporté en sécurité à l’intérieur des murs du poste-avancé d’Elmiro. N’ayant plus besoin des services des flûtins et considérant la capacité difficile du groupe à les endurer, Octavius et ses compagnons prirent la décision de les libérer.
Père Octavius nomma officiellement deux chefs pour le seconder dans le commandement des troupes. Les nominés sont le Capitaine Garosh et le Lieutenant Audurin, prêtre de Gaïa. La nuit tomba et les gens d’Elmiro se réjouissaient à l’idée d’avoir enfin trouvé la dépouille du prince Cantin.
Mais une présence se fit sentir à l’extérieur des murs, des paroles fûrent entendues… C’était le nécromancien qui psalmodiait de façon douteuse. Par la suite, le corps du défunt prince Cantin se réveilla et se mit à attaquer tout le monde. D'autres créatures qui suivaient le sombre personnage assaillaient, eux aussi, la fortification.
Les hommes ont réussi à tuer Cantin mais il se releva. Suite à cela, le père Octavius comprit qu’il y avait un lien invisible entre le prince et le Nécromancien.
Il fallait donc former une équipe d’élite afin de partir dans la nuit et trouver un objet qui permettrait de briser ce lien. Ainsi le Lieutenant Andurin resta pour gérer les défenses tandis que le Capitaine Garosh parti avec le Père Octavius et quelques hommes. Le groupe d’élite tomba dans une embuscade de zombies, il fallut alors que certains s’occupent de retenir ceux-ci pendant que les autres cherchaient l’objet clé. Une fois l’artéfact trouvé, ils se hâtèrent de retourner à l’avant-poste d’Elmiro. Il fallait réussir à couper le lien entre le prince Cantin et son marionnettiste.
Ce fut fait grâce à un rituel réalisé dans le temple de Gaïa unissant tous les prêtres. Le stress était palpable pour eux alors que le restant des hommes risquait leur vie à protéger le temple contre l'assaut des ennemis. Enfin, le rituel se termina, l’agression cessa alors et le corps du prince redevint inanimé... Le nécromancien s'enfuit.
Au lendemain, les troupes d’Elmiro firent un rituel pour purifier le corps du prince de toutes traces potentiellement néfaste avant de prendre la route escortant sa dépouille jusqu’au roi d’Elmiro.

Camp 7 (An 312)

Alors que la troupe d’Elmiro revenait d’un recrutement à Stopak, une créature non-identifiée s’est jetée sur le Père Octavius lui faisant une écorchure.
D’après certaines informations, le chef d’une dangereuse troupe de brigands s’est évadé de la prison de Dutin et ils auraient quitté vers le nord de la localité.
De curieuses personnes ont été rencontrées près du poste-avancé d’Elmiro et même que l’un d’eux a volé le chapeau de Père Octavius
Ensuite, l’un des membres de la troupe d'Elmiro se dévoila comme étant Sir Albertus-du-lac. Il parla vivement au nom du roi Éric fils de Lion et pressa les hommes d'obtenir les résultats souhaités par le roi. Il souligne que pour le moment, les attentes de la cour royale sont grandement déçues. Après ses avertissements, ce noble représentant d'Elmiro quitta le groupe.
Peu de temps après, Octavius s’écroula souffrant visiblement d’un mystérieux poison. Plusieurs s’activèrent dans une chasse au coupable et commencèrent par quérir le cartographe qu’ils avaient rencontré tout près. Très vite, ils comprirent qu’il était innocent. Puis ils se souvinrent de ceux qui avaient volé le chapeau du Père Octavius. Il fallait s’empresser de trouver un antidote car l’état du dirigeant de la troupe d’Elmiro s’aggravait de manière inquiétante. Ils retrouvèrent les brigands mais ceux-ci ont kidnappés la prêtresse et ils exigent une taxe pour la libérer. Face à cette situation une charge fut lancée, en signe de refus de paiement, ce qui aboutit à l’assassinat de la prêtresse (Oups).
Heureusement, ils réussirent à récupérer le chapeau volé, ramener la prêtresse à la vie et trouver l’antidote qui permit de sauver le Père Octavius à temps.
Après un bon repas, des sons étranges et familiers approchaient du poste. Très vite ils comprirent que c’était le retour tumultueux des flutins. Après que certains aient souffert de danses et autres amusements des flutins, une astuce fut prise pour se débarrasser de leur présence. Et c’est dans la joie unanime des membres que les flutins quittèrent l’endroit.
À la tombée de la nuit le Père Bastien visite la troupe. Il affirme qu’il a aperçu un nécromancien en train de corrompre des flutins pour en faire ses esclaves, ce qui a changé leurs comportements de manière radicale. Il ajouta qu’il a eu connaissance de quelque chose de spécial au sujet d’une étrange foret qui pourrait, selon ses dires, avoir l’œil sur les passants et peut être plus.
Il fallut redoubler de courage pour affronter les flutins étant passés de turbulents, énergiques et trop sympathiques à chaotiques, agressifs et malfaisants. Le capitaine Garoche et le commandant Andurin étaient très à l’affut de la situation.
Des elfes noirs surgirent dans la nuit accusant à répétition la troupe d’Elmiro de «bande de voleur !». C’est après un assaut raté que Père Octavius se fit capturer par les drows. Suite à une négociation avec la prêtresse ils acceptèrent finalement de le délivrer mais sous condition d’une libération des flutins de l’emprise du nécromancien. C’est à ce moment que les hommes d'Elmiro comprirent qu’auparavant les flutins étaient les esclaves des drows, que ces derniers cherchaient à les récupérer car «des voleurs inconscients» les ont «donnés» au nécromancien.
Une sorte de ''buisson / carnivore / meurlock'' fit une embuscade dans un sentier. La chose avait perturbé les membres de la troupe d’Elmiro qui ne l’ont jamais vu venir.
Il y eut une attaque de brigands au poste-avancé qui souhaitaient s’enrichir de potentielles possessions. Les hommes d’Elmiro s’aperçurent que l’évadé de la prison de Dutin était parmi ces brigands.
La troupe d’Elmiro fit une sortie pour se rendre à la compagnie mais, en chemin, rencontrèrent les marchands qui leurs avaient vendu les flutins en esclaves. Ils se hâtèrent pour leur demander une solution pour libérer les flutins de leur esclavage. Au final ils s’aperçurent qu’un autre groupe de marchands avait en leurs mains une partie de la réponse qui était sur un parchemin mais dans une forme impossible à lire. Les informations étaient écrites dans une écriture hors du commun. Grâce à la persévérance de Kaïlie aidée par un codex, le parchemin fut enfin lisible mais le sens de son contenu n’avait ni queue ni tête. Il fallut réfléchir à plusieurs personnes pour comprendre l’astuce derrière tout ça et découvrir enfin le réel message qui s’y cachait révélant comment libérer les flutins.
Tout de suite après, une chasse aux éléments manquants fut ouverte souhaitant en finir rapidement.
Tous se rendirent à la compagnie pour faire le rituel pour couper les liens entre les flutins et le Nécromancien. La nuit tomba, alors que quelques uns faisaient le rituel autour du feu les autres s’afféraient à protéger le lieu hostile de flutins. Heureusement le rituel fonctionna ramenant les dangereux flutins à eux qui disparurent dans la nuit. Mais suite à ce rituel tous ceux près du feu ont été affectés par d’étranges effets qui perturbèrent grandement la troupe d’Elmiro de plusieurs manières.
De retour de la compagnie, tous s’étonnèrent d’entendre de nombreux bruits d’un violent combat qui avait lieu à leur propre fortification. C’est arrivés sur les lieux qu’ils constatèrent que des membres armés de l’empire Orus luttaient pour défendre la place contre des créatures qui semblaient ni mortes ni vivantes. Après un combat bien réchauffé, ils parvinrent à capturer et tuer le nécromancien. Nombreux se réjouissaient de cette réussite qui semblait mettre fin à une interminable suite de problèmes. Cependant les combattants de l’empire Orus se montraient extrêmement critiques envers l’’ incompétence des gens d’Elmiro’’et ne semblaient pas partager les mêmes manières que ceux-cis. Les derniers mots échangés laissèrent les hommes d’Elmiro froids à l’idée de croiser à nouveau les combattants d’Orus.
Par surprise, une bande de festoyeurs nains débarquèrent sur place invitant les gens à fêter avec eux. Ils finirent par inciter Kassadin à chanter et à raconter quelques histoires intéressantes, agrémentant le temps de passage de cette compagnie naine.
Au matin, tous participèrent à un rituel stratégique afin de s’assurer que le nécromancien ne puisse se relever d’une quelconque manière. Ils firent le nécessaire pour suivre les instructions du roi d’Elmiro en ce qui concerne le sombre personnage. À peine le rituel terminé, une délégation venue de l’Empire Orus avec une attitude des plus désagréable, pour ne pas dire insultante, vint pour réquisitionner le Poste-avancé d’Elmiro affirmant que «Elmiro n’a plus sa place ici». Ils remercient les personnes en place pour les piètres services rendus. Le Père Octavius, appuyé par ses troupes, s’opposa vivement à cette tentative de déloger l’implication de la couronne des Plaines-Dorées. Étant de plus en plus à bout de nerf et voyant que les mots ne s’emblaient suffire à aboutir dans cette impasse diplomatique, il donna le signal pour une intervention d’une tout autre nature. Les apparences sont parfois trompeuses mais les envahisseurs ont été repoussés de manière pacifique… enfin… presque…

Camp 8 (An 312)

Une importante nomination fut faite au sein de la troupe d’Elmiro. Celle du Lieutenant Cheveux-Vert et du Capitaine Torgat. Sur leur route les membres de la troupe d’Elmiro se sont aperçu qu’ils étaient observés par des inconnus dans la foret, soulevant des inquiétudes.
Une fois installé au poste avancé d’Elmiro, un envoyé spécial de Sir Albertus du lac vint avec les remerciements d’Elmiro et leur remit une épée légendaire du nom de Aurora.
Arrivé au soir, des intrus ce sont introduit dans les murs de la fortification inachevée et ont volé Aurora. Peu de temps après un drôle de personnage, qui avait sans cesse des comportements faisant pensés à un petit rongeur, arriva et remit un parchemin qui semblait indiquer des pouvoirs que pourrait faire l’épée légendaire. Tout à coup l’homme-rongeur est devenu très agressif pour s’apercevoir qu’il était en fait «l’écureuil-garou».
Par la suite, une partie de la troupe d’Elmiro s’est rendu à la compagnie où ils ont été embusqués par une forte pluie. Heureusement ils ont pu s’abriter sous un toit le temps que ça passe. Mais surtout ils ont constatés des installations de l’empire Orus, ce qui a suscité de vives réactions.
À la nuit tombée, d’étranges bruits ce firent entendre au-loin. Le père Octavius se rendit vite compte que ces bruits provenaient d’un puissant rituel. Rapidement la troupe d’Elmiro s’est mobilisée pour aller enquêter. Ils découvrirent un feu allumé avec des symboles tout près laissant voir qu’il s’agit du lieu d’où venaient les étranges bruits. Ils y ont organisé une embuscade mais il n’y avait personne. En cherchant des indices, un parchemin fut trouvé et les auteurs du feu ce sont soudainement approchés. Rapidement ceux de la troupe ce sont caché autour du lieu bénéficiant de la noirceur de la nuit. Mais ce temps de cachette ne dura pas. Puis les hostilités prirent contre ceux qui semblaient être une bande de fanatique dont on ne sait trop quoi. Pendant le combat un coffre fut trouvé sur les lieux, dans lequel se trouvait Aurora. Plus les choses allaient et plus il semblait être une bonne idée de ne pas tarder en ces lieux. L’ordre fut donné de se replier au poste d’Elmiro avec le coffre. Mais les fanatiques les ont suivis laissant peu de repos à la troupe d’Elmiro.
Au lendemain, faisant leur tour de garde, des membres de l’empire Orus sont passé près du poste d’Elmiro s’apercevant de la présence de la troupe d’Elmiro. Il y eu un échange qui fut peu courtois. Un peu plus tard, il s’en suivi une visite organisée à la compagnie pour faire une tentative de déloger les indésirables mais après avoir essuyé quelques pertes, Père Octavius donna l’ordre de se replier.
L’écureuil-garou vint donner un cadeau en signe d’excuse pour montrer qu’il est gentil. Ce cadeau fut un rituel transformant toute la troupe d’Elmiro en écureuil pour un temps. Choses qui permit de passer presqu’inaperçu aux yeux des membres de l’empire Orus afin de se rendre au-delà de la compagnie pour tenter de mettre la main sur ce qui s’appelle la clé des braves.
Au retour de cette grande expédition, le coffre qui contenait Aurora avait disparu et un message fut trouvé donnant un rendez-vous dans un lieu isolé étant conditionnel pour récupérer le coffre disparu.
Après avoir repris des forces, la troupe d’Elmiro ce mobilisa pour se rendre au point de rendez-vous.
Le chef des brigands demanda au Père Octavius ce qu’ils étaient prêt à offrir pour récupérer le coffre et son contenu. Pépito s’empressa alors d’offrir les meilleurs tacos du monde. Surpris par une telle offre, le chef des brigands refusa en riant. Le Père Octavius ordonna la capture du chef mais celui-ci n’était pas seul, car de nombreux acolytes surgirent de la foret. C’était un piège qui aboutit tout de même à ce que la capture du chef des brigands fut un succès. Après l’avoir interroger une entente fut fait en échange de sa libération : «avoir le lieu exacte où le coffre a été caché». Respectant leur parole après la trouvaille du coffre, le chef des brigands fut libéré.
Une attaque des fanatiques survint dans la veillée. Grâce au bon commandement du Capitaine Torgat et au Lieutenant Cheveux-Vert les membres de la troupe d’Elmiro ont su bien défendre la fortification. Malgré tout le Père Octavius fut enlevé. C’est alors qu’un groupe de braves se lança dans la nuit et se frayant un chemin à travers les hostilités pour le retrouver. Ils ont réussi à le retrouvé et à le ramener mais ils ont trouvé que c’était trop facile dans les circonstances. Tout ce temps il n’y avait pas de repos pour les défendeurs et un moment donné l’un des fanatiques parvint au Père Octavius et lui chuchota quelques choses à l’oreille avant de disparaître rapidement dans la noirceur de la nuit. Ensuite, plus ça allait et plus il se mit à avoir un comportement douteux. Au point de partir dans la nuit. Aussitôt que l’occasion s’est présentée, il fallut le ligoter à un arbre pour le protéger de lui-même.
Au lendemain matin l’état du Père Octavius inquiète de plus en plus et la solution pour le libérer du mal qui était en lui était de se rendre à la compagnie pour y faire un rituel d’exorcisme. Mais la question que tout le monde se demandait était… est-ce que les membres de l’empire Orus seront un obstacle pour cette tâche ou vont-ils accepter de nous laisser faire ? Il était évident qu’il fallait tenter quelque chose. Arrivé à la compagnie la troupe d’Orus était toujours là et il fallut une forte négociation tendu pour qu’ils acceptent d’y faire le rituel de libération. Suite au succès du rituel les troupes d’Elmiro ont été fortement invité à quitter les lieux. La troupe d’Orus a escortée la troupe d’Elmiro jusqu’au pont mais pendant la marche les écarts de conduite répété de Pépito ont fini ce raccompagnement par son jugement qui fut abouti par l’exécution immédiat de Pépito. Heureusement sa dépouille fut ramenée et ressuscité avant le départ de la troupe d’Elmiro.

Camp 9 (An 312)

À l’approche du poste avancé d’Elmiro le père Octavius, accompagné de ses troupes, ont croisée des soldats orusiens. L’échange fut bref et la tension était sentie.
Après s’être bien installé et bien nourris, ils sont allés faire une virée à la colonie espérant y trouver une sorte de fleur très rare. Une fois sur place ils tombèrent nez à nez sur des orusiens qui étaient sur le point de quitter les lieux pour «d’autre priorités». C’était bien senti pour la troupe d’Elmiro mais les orusiens refusèrent de quitter tant que la troupe restait sur place.
De retour à l’avant-poste d’Elmiro, des gobelins sont arrivé attaquant le lieu. Ils ont fini par partir mais ont volé le bâton du Père Octavius.
Au retour d’une sortie nocturne pour tenter une traque aux gobelins, des grognements ce sont fait entendre dans des buissons qui semblaient traquer la troupe d’Elmiro. Ils ne se sont pas fait prier pour se rendre à l’avant-poste rapidement. Puis les assaillants ce sont fait connaître, des orcs ont fait une attaque sur l’avant-poste demandant de leur rendre ce qu’ils ont volé mais personne ne savait de quoi ils parlaient. Alors ils ont quitté disant qu’ils allaient revenir.
Au beau milieu de la nuit, une attaque a surpris les gardes de l’avant-poste. Après avoir écarté ceux qui montaient la garde et tuer le père Octavius dans son sommeil, les assaillants ont fait un étrange rituel autour du feu pour on ne sait trop quoi.
Au petit matin débarqua, dans l’avant-poste, un homme qui était un peu trop à l’aise. Après qu’on le questionna, il se présenta «Pédro le charpentier» envoyé par Elmiro pour inspecter l’état de la fortification et évaluer les prochains investissements de la couronne. Les nouveaux, capitaine et lieutenant comprirent vite qu’il ne pourrait pas se fier sur lui pour contribuer activement dans des situations de combat.
L’écureuil-garou se pointa le museau et tenta d’expliquer ce que les orcs voulaient dire par «objet volé». Mais à chaque fois qu’il arrivait pour dévoiler le plus important les mots lui manquaient en dépit de sa volonté, comme s’il y avait sur lui une forme de malédiction l’empêchant de parler. Ce fut rapidement un objectif de découvrir comment retirer ce maléfice.
Mais par-dessus tout une forte priorité ce fit sentir au sein de la troupe d’Elmiro : Trouver un moyen de ressuscité le Père Octavius. Plus tard dans la journée ils sont tombés sur des marchands. Ceux-ci affirmaient savoir comment délivrer l’écureuil-garou mais pour cela ils devront réussir trois duels, trouver la réponse à une énigme et troquer un objet de valeur. Le groupe accepta le défi. Le défi étant accomplis avec brio l’écureuil-garou pu enfin parler. La troupe d’Elmiro apprirent entre-autre que l’objet avait bien été volé au orcs mais ce sont les orusiens qui l’ont volé. Heureusement lorsqu’ils ont quitté, ils trouvèrent l’objet trop encombrant alors ils ont tenté de le rendre inaccessible en le jetant dans un escarpement.
De plus en sondant les marchands sur leurs marchandises, un bâton magique de résurrection était justement dans leur objet à vendre. Le capitane fit le nécessaire pour payer la somme dû pour enfin faire revenir le père Octavius à la vie dont le corps avait été mis en lieu sûr.
Une fois le père Octavius de retour, ils prirent le temps de lui expliquer les nouveaux développements. Puis tous partirent à la recherche du crâne de géant convoité par les orcs. Il fallut ne pas trainer car la pénombre commença.
La joie pour la troupe d’Elmiro grandit vivement au moment où ils trouvèrent l’objet.
De retour à l’avant-poste un homme se trouvait au centre de la place. Au premier regard, à cause de la noirceur, il était difficile d’identifier quelle sorte de créature c’était. L’espèce de gobelin à double personnalités parla brièvement avant de s’apercevoir qu’il était là que pour attirer l’attention pour une embuscade de brigands. Heureusement des renfort venu d’Elmiro arrivèrent et permirent de chasser plus facilement cette bande de malotrus.
Le temps était à la fête quand les orcs revinrent pour réclamer leur dû. À leur demande la réaction sonna comme un refus à leurs oreilles, ce qui déclencha l’assaut des orcs sur la fortification. Le combat était très serré ayant de lourdes pertes de chaque côté. Finalement le père Octavius donna l’ordre de rendre le crâne de géant aux orcs, ce qui stoppa le sanglant combat et les virent disparaitre dans la noirceur de la nuit.
Après une nuit de sommeil, des géants arrivèrent réclamant leur crâne d’un de leur ancêtre affirmant qu’ils savent à l’odeur que l’artéfact est là. Les troupes ont bien tenté d’expliquer que ce sont les orcs qui sont parti avec mais les géants ne les ont pas cru. Les géants se mirent alors à tourner autour de la fortification en marmonnant des choses incompréhensibles. Ensuite ils sont partis puis une vapeur suffocante envahit l’endroit. C’était tellement insupportable que tout le monde dû quitter la place retournant à Elmiro.